Prime REP+ : gagnons une mise en œuvre immédiate et effective pour toutes et tous.
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Prime REP+ : gagnons une mise en œuvre immédiate et
effective pour toutes et tous.
Si les primes ne sont pas une solution pour la CGT, celles liées l’Éducation prioritaire sont nécessaires car elles reconnaissent la spécificité du travail dans ces écoles et établissements. Jusqu’à peu, seuls les personnels enseignants les touchaient, mais la situation évolue.
Suite à une procédure lancée au Tribunal Administratif en 2019, la CGT Éduc’action Créteil a obtenu en 2020 le versement de la prime REP+ pour les personnels de service social de son académie. La CGT Éduc’action Paris l’a imitée et a gagné à son tour.
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POUR L’AVENIR DES ÉLÈVES DE LA VOIE PRO, NON À LA CASSE DES LYCÉES PROS !
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POUR L’AVENIR DES ÉLÈVES DE LA VOIE PRO,
NON À LA CASSE DES LYCÉES PROS !
La réforme des lycées professionnels que veut imposer le président Macron aux élèves et aux personnels de LP constitue un véritable danger pour l'avenir d’un tiers de la jeunesse lycéenne, pour nos métiers et pour la formation professionnelle initiale.
Les 4 points développés ci-dessous seraient pour le ministère non négociables alors même qu'ils concentrent les éléments les plus dangereux de ce projet.
Mais pourquoi garder Parcoursup ?
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Mais pourquoi garder Parcoursup ?
Source de stress pour les élèves, le processus de Parcoursup a en plus la désagréable habitude de se produire en plein milieu de l’année de Terminale. Créée pour remplacer une application APB défaillante, Parcoursup est paré de toutes les vertus par Blanquer et Ndiaye. Censé être plus égalitaire, c’est en fait tout le contraire.
D’abord, il se substitue au Bac (ou ce qu’il en reste) puisque les vœux se font en mars… juste après les épreuves de spécialités, ces dernières figurant en bonne place dans la liste des critères. Les jeux sont alors faits. Il va en falloir de la motivation pour les élèves afin de tenir jusqu’en juin. Il leur reste le stress, qui sera amplifié au moment des résultats où ils·elles devront souvent attendre longtemps (début juillet voire après les vacances d’été) avant de savoir où ils·elles iront. Selon un sondage IPSOS portant sur la session 2021, 87 % des élèves se déclarent stressé·es et 30 % mécontent·es de leurs résultats d’orientation. À la rentrée 2021, plus de 100 000 bachelier·ères étaient sans orientation. Quel succès ! Au final, c’est « ciao le Bac » qui, en plus, est largement attaqué par le contrôle continu et les coefficients très forts des spécialités.
Bac 2023 : il faut reporter les épreuves de spécialité en juin
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Bac 2023 : il faut reporter les épreuves de spécialité en juin
Le ministre de l’Éducation nationale a confirmé la tenue des épreuves de spécialité en mars 2023 en dépit des très nombreuses voix qui appelaient à un report de ces épreuves en juin. Puis, un mois après la rentrée, le ministère propose de supposés allègements de programme afin de rendre possible, selon lui, le déroulé des épreuves du bac 2023 avec des épreuves de spécialité en mars. Non seulement le « resserrement » annoncé des programmes ne convient pas mais il se traduit parfois même par un alourdissement.
Nous voulons assurer aux élèves de Terminale une année pleine et entière d’apprentissages. Les programmes sont exigeants, bien trop lourds parfois. Ils demandent du temps de préparation et d’appropriation.
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Soutien à Kai Terada, contre la répression : journée d'action le 11 octobre par la grève et les rassemblements
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Soutien à Kai Terada, contre la répression :
journée d'action le 11 octobre par la grève
et les rassemblements
Dimanche 4 septembre, Kai Terada, co-secrétaire départemental de SUD éducation 92 et enseignant au lycée Jolliot-Curie de Nanterre (92), s’est vu notifier par le rectorat une suspension de 4 mois. Jeudi 22 octobre, au lendemain d'un rassemblement d'ampleur devant le ministère, Kai recevait du rectorat son arrêté d'affectation dans un établissement, rendant effective la "mutation dans l'intérêt du service" dont il fait l'objet.
Il s’agit manifestement d’un nouveau cas de répression anti-syndicale. Les justifications données par le rectorat à sa mutation mentionnent notamment le fait que son militantisme déborde « l’exercice normal d’une activité syndicale ». Et effectivement, Kai est bel et bien un militant syndical actif au niveau local, régional comme national, depuis de nombreuses années : c’est cela qui a motivé l’administration a engager des poursuites contre lui.
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